Thanks to the team of the Republican Lorrain de Longwy who went to my workshop for a detailed interview!
Ses chaussons semblent à son image, espiègles et pétillants. Caty Cavallone a créé sa petite entreprise, il y a de cela huit ans. Et depuis, le succès de ses jolies créations ne se dément pas. La jeune femme de 37 ans, domiciliée à Bréhain-la-Ville, a misé sur la qualité, le confort et la couleur. Pensés dans un premier temps pour ses enfants, et plus particulièrement sa fille, ses modèles ont très vite trouvé preneurs. Il faut dire qu’il y a huit ans ce type de chaussons n’était pas très courant. Caty Cavallone en avait découvert venus du Canada, d’où son idée de développer une offre « made in France », with quality raw materials, as well as patterns and colors that he liked.
« C’est comme une seconde peau, avec un système élastique qui maintient la cheville. Ils accompagnent les mouvements, ne font pas de bruit. Les pieds respirent, on ne transpire pas dedans. Et, c’est recommandé par les pédiatres », souligne la Lorraine.
La trentenaire se rend sur Paris pour s’approvisionner en cuirs certified French or Italian, without azo dye and without chromium VI. Elle y trouve aussi des produits colorés plus funs. Et elle s’arrête sur des cuirs souples, doux (velours), naturels.
La matière première ne suffit pas, il faut la transformer. Caty ne travaille pas toute seule, une couturière lui prête main-forte ainsi que sa maman. Il faut dire qu’elle effectue la découpe du cuir de craft way, à l’aide d’un cutter. Elle met environ trente minutes à réaliser une paire.
A diversified range
La jeune femme a beaucoup d’imagination et peut aussi personnaliser les chaussons à la demande (un prénom, un dessin…). Une façon de « se démarquer ». Ces chaussons sont donc très prisés pour les naissances, voire les anniversaires. Pour cela, elle ajoute tout simplement des motifs thermocollants. The big ones can also orderCaty has, in fact, diversified its range by thinking of adults.
Jusqu’à maintenant, la jeune entrepreneuse a beaucoup compté sur le bouche-à-oreille pour vendre ses créations. Ça marche d’ailleurs plutôt bien. Elle en fabrique environ une centaine de paires chaque mois. « J’ai gardé ma clientèle depuis huit ans, je vois les enfants grandir. J’ai aussi fourni une crèche Montessori à Nancy, avec des custom slippers. J’en vends en France, au Luxembourg et en Belgique. Une fois, j’ai même eu une commande de 14 chaussons pour la Suisse. Ou encore une dame d’un pays chaud qui en a commandé pour ses enfants quand ils font du trampoline dehors », apprécie la jeune maman.
But, to try to develop her communication, she recently redesigned her website and created a Facebook page. She will be present for some time in an ephemeral shop, in the courtyard of the Capuchins in Thionville.
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